Revue de presse du 15 novembre 2022

Education & Career : INSTITUT ESCOFFIER – LES METIERS DU LUXE

Le 15 novembre 2022

Extrait : Pionnier de la formation des métiers du Luxe, l`Institut Escoffier est incorporé en décembre 2014. Cet établissement international est reconnu comme le leader régional de la formation des métiers du Luxe. Depuis les dix dernières années, cette industrie ne cesse de croitre et recrute sans cesse des professionnels familiers aux métiers et codes du Luxe. Ce n’est pas un hasard si plusieurs étudiants décrochent un emploi permanent à leur inscription en première année de bachelor / licence à l`Institut Escoffier. Bien plus que l`hôtellerie et le tourisme, l`industrie du luxe comprend l`immobilier, les spiritueux, la gastronomie, la bijouterie, l`automobile entre autres. L`établissement a décroché le titre du Meilleur Établissement d`Enseignement de la Gastronomie et de la Restauration lors des Olympiades de 2020 et 2021.

Un MBA Management et Marketing du Luxe de MBA ESG Paris classé 6ème en France et 10ème mondial en Management et Marketing du Luxe est ouvert à temps partiel depuis novembre 2021. Cinq Licences/Bachelor sont proposés notamment de CY Cergy Paris Université et ESG Luxe, en Marketing du Luxe; Sommellerie ; Manager Unité Hôtelière du Luxe ; Culture Gastronomique Française et Européenne et enfin le Management Opérationnel de la Restauration Gastronomique.

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Géologie. Le Vexin français, un paysage de 80 à 35 millions d'années

Par Fabrice Cahen, le 12 novembre 2022

Extrait : Fondateur du département géoscience à l'université de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise), Dominique Frizon de Lamotte vient de sortir un guide sur la géologie du Vexin.
Les vallées de l’Oise et de la Seine, l’Hautil et l’agglomération de Cergy-Pontoise font-elles partie du territoire du Vexin ? La réponse est dans le guide que vient de publier une équipe sous la direction de Dominique Frizon de Lamotte, enseignant à l’université de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise).

« C’est un territoire exceptionnel par sa géologie et sa géomorphologie », assure le professeur Dominique Frizon de Lamotte, qui vient de signer un très utile Guide des curiosités géologiques de ce territoire du Val-d’Oise. Afin de mieux comprendre comment s’est formé le paysage du Vexin, constitué de vallées, plateaux et buttes, le géologue, qui demeure dans le Vexin normand, s’est intéressé au paysage qui l’entoure.

« Toute l’histoire du Vexin géologique commence il n’y a pas si longtemps que ça, entre 80 à 35 millions d’années, nuance avec ironie le géologue. Le paysage actuel est le résultat d’une érosion ! ».
[…]

Laboratoire naturel
Pour expliquer l’origine naturelle du Vexin, Dominique Frizon de Lamotte accompagne son étude de maquettes 3D, réalisées par le département géoscience à l’université de Cergy-Pontoise. Elles sont visibles dans l’ouvrage. La publication a pour but d’accompagner une initiative, déjà engagée, de rencontres avec le public. Le livret a pu être édité avec le soutien de la Région Île-de-France, après une série de balades géologiques lancées à destination du public et qui attirent jusqu’à cinquante participants. La Ville de Pontoise, mais aussi d’autres communes et sites du Vexin sont concernées (lire encadré ci-dessous), par des balades géologiques. Nucourt, Vétheuil, la butte de l’Hautil sont au programme.
« Nous avons formé des animateurs et certains guides conférenciers d’offices de tourisme », explique le professeur d’université.

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Cergy-Pontoise. Climat, guerre... : l'Université ouverte vous invite au débat

Par Jerôme Caravetta, le 9 novembre 2022

Extrait : CY Cergy Paris Université a lancé la 21e édition de son cycle de conférences-débats. Au menu : climat, guerre, géothermie ou encore démocratie chez les moutons.
Réfléchir et débattre des questions qui agitent le monde. C’est la proposition toujours pertinente formulée depuis vingt ans par l’Université ouverte dont Cy Cergy Paris Université vient de lancer la 21e édition. Une nouvelle saison inaugurée début octobre par une conférence autour du changement climatique animée par Jean Jouzel, lauréat de la médaille d’or du Cnrs et co-lauréat du Prix Nobel de la Paix au titre du Giec. Une entrée en matière de haut niveau pour célébrer deux décennies à nourrir le débat.

Vingt ans déjà
Avec près de 17 500 auditeurs, 251 intervenants, 200 conférences et plus de 127 heures de replay disponibles sur YouTube, l’Université ouverte de Cergy-Pontoise en a parcouru du chemin depuis ses premiers pas il y a vingt ans déjà.

Tel un rituel, la recette de ce joli succès d’estime n’a pas varié : un à deux jeudis par mois, de 18h à 20h, un spécialiste s’invite pour éclaircir les grandes questions qui traversent la société autour d’une conférence partagée en deux temps : une heure d’exposé suivie d’une heure de débat avec la salle.

« L’université affirme ici sa vocation à diffuser les savoirs et à s’ouvrir sur la cité, en accueillant, à nouveau en présentiel, le public désirant débattre avec des spécialistes sur les questions complexes que pose le monde d’aujourd’hui », précise-t-on à la fac de Cergy-Pontoise.

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La mémoire humaine retient le fond plus que la forme

Le 7 novembre 2022

Extrait : Des chercheurs scientifiques de l’université de Genève, en collaboration avec CY Cergy Paris Université, ont démontré que l’être humain, dans sa manière de mémoriser, est moins superficiel qu’on ne le pensait, et qu’il privilégie vraisemblablement la structure à la surface.

« Ce n’est que par ignorance que les indices superficiels prennent le dessus« , souligne Emmanuel Sander, professeur à la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation (FPSE) de l’Université de Genève (UNIGE). La mémoire de l’Homme organise son vécu à partir de deux traits principaux : les traits de surface, qui regroupent les ressemblances superficielles des situations (les lieux, les personnes présentes…), et les traits de structure, ayant rapport à la profondeur de la situation et de sa problématique. On pensait jusqu’ici que les individus avaient tendance à privilégier les indices de surface lorsqu’ils traitaient une situation. « Cela est souvent attribué au fait que notre cerveau cherche la facilité lorsqu’il s’agit de l’évocation et qu’en général la surface d’un souvenir est corrélée à sa structure », explique Emmanuel Sander, cité par la revue spécialisée « Science du Monde ».

Les scientifiques affirment avoir initié ces nouvelles expériences partant du constat que les travaux antérieurs se fondaient sur des situations qui n’avaient pas en commun uniquement des traits de surface, mais également une part de la structure, d’autant que les participants n’avaient pas les connaissances nécessaires pour appréhender le fond des situations qui leur étaient présentées.

« Nous nous sommes demandé si les traits de surface dominaient réellement les traits de structure lorsqu’une situation en évoquait une autre« , a indiqué Lucas Raynal, chercheur à CY Cergy Paris Université et membre associé à la FPSE de l’UNIGE.

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Éducation. Cergy muscle son jeu dans les quartiers populaires

Par Jérôme Caravetta, le 2 novembre 2022

Extrait : Le label Cités éducatives va autoriser Cergy (Val-d'Ois) à intensifier sa politique d'aide éducative menée dans les quartiers prioritaires. À la clef : 300 000 euros.
Plus de moyens en faveur de l’aide éducative dans les quartiers populaires.
Le 28 septembre 2022, la Ville de Cergy (Val-d’Oise) a officiellement reçu le label Cités éducatives lors d’une cérémonie orchestrée au Douze, la salle de spectacle posée sur la place centrale de Cergy Saint-Christophe.

Aide aux devoirs
Un titre décerné par l’État aux villes qui portent des stratégies ambitieuses pour renforcer la prise en charge éducative des jeunes, de leur naissance à l’âge de 25 ans, dans et hors l’école, jusqu’à leur insertion dans la vie professionnelle.

En décrochant ce label très envié, Cergy va bénéficier d’un coup de pouce financier de l’État de près de 300 000 €. Une manne que la commune utilisera pour « intensifier la politique d’aide éducative qu’elle mène dans les quartiers prioritaires » relevant de la politique de la ville.
« Cergy va pouvoir soutenir et collaborer encore plus avec les enseignants, parents, animateurs, éducateurs, travailleurs sociaux, associations…, indique la commune. 4 300 élèves de primaire, 2 000 collégiens et 1 200 lycéens, les étudiants de CY Cergy Paris Université et des grandes écoles sont concernés. »

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Le carnet de Campus Matin : les cinq prises de postes à retenir en octobre 2022

Par Isabelle Cormaty, le 2 novembre 2022

Extrait : Une directrice de l’agence française d’Erasmus +, une nouvelle venue à la tête d’une école de la fonction publique, un directeur de pôle au Secrétariat général pour l’investissement, un président et une présidente d’association. Voici les prises de fonctions marquantes de ce mois d’octobre à retrouver dans votre rendez-vous mensuel. Apprenez-en plus sur le parcours de ces personnes et les enjeux de leurs nominations !

Nelly Fesseau, François Germinet, Isabelle Richard, Pierre Boulet, Sylvanie Duval : ces personnalités et dirigeants de l’enseignement supérieur et de la recherche ont fait parler d’eux ces dernières semaines, car ils ont pris ou vont prendre de nouvelles fonctions. Découvrez leur parcours et leurs nouvelles missions !
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François Germinet, directeur du pôle connaissances du SGPI
Le président de CY Cergy Paris Université, François Germinet va rejoindre le Secrétariat général pour l’investissement (SGPI) à compter de janvier 2023 comme directeur du pôle connaissances, révélait News Tank le 24 octobre.

Une fonction d’envergure nationale
François Germinet dirigera l’un des cinq pôles du SGPI dirigé par Bruno Bonnell. Cette prise de poste marque un changement de posture pour le président d’université, habitué des réponses aux appels à projets lancés par le SGPI.
« Il me semble intéressant de passer de l’autre côté et disposer d’une vision transversale de tous les sujets de formation, recherche et innovation, et ce pour l’ensemble des ministères concernés ainsi que dans la relation public-privé. Faire avancer les dossiers au niveau national m’a toujours passionné. Au SGPI, j’aurai une capacité à influer sur ce qui va se passer, non pas par le législatif ou le réglementaire, mais par des financements », déclare-t-il dans un entretien à News Tank (abonnés).

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